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Souvenirs de voyages.

REVE MAURICIEN Décembre 2008

REVE MAURICIEN Décembre 2008

                      

                                                

Un rêve est sur le point de se réaliser pour mon épouse et moi, première grande destination de voyage à plus de 50 ans. Nous sommes deux couples pour ce voyage.

Nous avons choisi après plusieurs destinations, l’ile Maurice pour deux semaines courant décembre 2008, par notre agence locale de voyages.

 

Ce voyage nous le devons à notre belle maman qui hélas nous à quitté prématurément, elle avait ce désir de nous faire ce cadeau depuis quelques temps déjà.

Le fils de mon ami nous dépose tout les quatre à l’aéroport de Roissy de très bon matin et il neige un peu, température -2°. Nous nous hâtons de rejoindre le hall pour trouver de la chaleur et nous sommes chargés, 2 grandes valises et un sac de golf par couple.

Au comptoir de notre agence de voyage nous obtenons les billets d’avion. Nous faisons ensuite la queue pour l’enregistrement des bagages et constatons que nous volerons sur un Boeing 747 d’Air Mauricius. Enfin après cette longue attente nous décollons pour onze heures de vol non-stop.

 

 

 

 

Arrivée au paradis Mauricien

Arrivée au paradis Mauricien

 

L’atterrissage se fait en douceur et nous sommes tous impatient de débarquer. La chaleur moite nous saisies à la sortie de l’avion et avec les 2 heures de décalage horaire avec la France nous sommes en milieu d’après midi, il fait environ 27° quel contraste agréable.

 

Nous avons rendez vous avec notre tour opérateur à l’aéroport pour récupérer les documents de l’hôtel et les billets de retour. Nous sommes ensuite diriger vers la sortie ou un minibus nous attend. Il faut environ une demi-heure pour rejoindre notre lieu de villégiature.

Pas un pouce de terrain n’est laissé à l’abandon, des cultures partout, des champs de cannes à sucres, d’ananas, de bananes, des temples Hindous ou Tamoul des églises et quelques mosquées.

Nous passons devant le golf du Saint Géran juste avant d’arriver à notre hôtel.

Une grande entrée avec des murs roses, un poste central avec des barrières, nous voici arrivé au complexe hôtelier « le Coco Beach ». Nous roulons ensuite jusqu'à la réception.

On nous tend tout de suite une serviette rafraichissante à chacun, pendant que des employés déchargent et emmènent nos bagages directement dans notre bungalow.

 

 

Un petit coin de paradis    notre bungalow    le golf de l'hôtelUn petit coin de paradis    notre bungalow    le golf de l'hôtel
Un petit coin de paradis    notre bungalow    le golf de l'hôtel

Un petit coin de paradis notre bungalow le golf de l'hôtel

 

  

Dans le complexe hôtelier nous avons, un golf de 9 trous, un spa, quatre plages avec des transats protégés, deux piscines, quatre restaurants, un bar piscine, une salle de jeu, une grande salle bar qui fait boite de nuit ou soirée à thèmes etc…Le tout à volonté, sauf le spa. 

Dans les chambres nous avons un coffre fort à combinaison, un bar frigo remplis de boisson diverses non alcoolisées, un panier de sachets de thé et café varié avec une machine pour faire chauffer l’eau. La télé Française, le téléphone et la clim. A l’extérieur en terrasse une table et deux fauteuils.

Notre bungalow est situé à l’écart des immeubles et environ à 200 mètres de la plage.

Nous nous empressons d’aller y faire un tour, surtout pour avoir un aperçu de la température de l’eau. Nous prenons la première plage de gauche qui est entourée de pierres noires et qui laisse un passage sur la mer libre derrière un muret. A l’heure qu’il est, environ 17h00 nous la trouvons relativement douce 23 ou 24°.

Au loin un bruit continuel c’est la barrière de corail qui entoure l’ile entièrement. La couleur de ces pierres doivent êtres des pierres d’origines volcaniques et les fonds à cet endroit ne sont pas terribles, nous sommes très déçus.

Nous espérons que les trois autres plages soient plus agréables demain.

 

                                                   

 

 

Cascades de Chamarel     la colline des septs couleurs    la piscine de l'hôtel
Cascades de Chamarel     la colline des septs couleurs    la piscine de l'hôtelCascades de Chamarel     la colline des septs couleurs    la piscine de l'hôtel

Cascades de Chamarel la colline des septs couleurs la piscine de l'hôtel

Première Journée

Le sable est blanc c’est en fait du corail concassé depuis des siècles et l’eau…. Enfin l’eau est presque chaude, c’est un régal, nous mettons nos masques et hop, c’est parti.

Waouh que c’est beau, des poissons comme dans les aquariums d’eau de mer, des coraux à perte de vues. En plus il n’y a pas plus de 2 mètres de profondeur sur tout le site jusqu'à la barrière de corail qui se trouve à 300 mètres environ, c’est géant.

Après une petite sieste pour certain, nous nous dirigeons vers le golf local en par 3.

Le green-kipper nous accueille gracieusement et nous indique que nous pouvons jouer quand nous voulons, sans réservation et nous indique l’endroit du premier trou.

Oh surprise, bonjour le trou n°1, il nous faut traverser un étang en ligne droite suivit d’un massif de plantes tropicales type cactus et le green doit être a 90 mètres, heureusement le départ est surélevé.

Le reste du parcourt est standard, sans difficulté particulière mais il fait chaud, nous ferons ce parcourt le matin à la fraiche ou le soir avant l’apéro.

Le soir nous faisons un tour dans le hall et fouinons dans les magasins du complexe et terminons la soirée dans la salle à thème.

 

 

Le magasin de fabrication des maquettes de Curepipe, Grand Bassin et un flamboyant Le magasin de fabrication des maquettes de Curepipe, Grand Bassin et un flamboyant
Le magasin de fabrication des maquettes de Curepipe, Grand Bassin et un flamboyant

Le magasin de fabrication des maquettes de Curepipe, Grand Bassin et un flamboyant

Deuxième journée, le 04 décembre 2008, nous avons choisis de visiter le Sud de l’ile avec une voiture équipé du chauffeur guide.

Nous traversons d’est en ouest l’ile pour le Trou aux Cerfs, c’est le puits d’un ancien volcan ou nous faisons une autre halte pour admirer le panorama.Nous repartons vers la ville de Curepipe ou nous allons visiter une fabrique de maquettes de bateaux de tout type. Le magasin de vente est splendide, je n’ai jamais vu autant de maquettes de toutes tailles réussis aux détails très précis. Nous montons à l’étage pour constater de nos yeux le travail minutieux de toutes ces femmes qui assemblent les cordages, les poulies et surtout les haubans des voiliers etc… Les hommes travaillent le bois avec des petits rabots et des poinçons, d’autres font les peintures. La réputation publicitaire est digne du résultat.

En chemin nous longeons un grand golf et j’interpelle le chauffeur pour lui demander de pénétrer à l’intérieur.

Nous ressortons avec nos balles de golfs logotées au nom de Tamarini golf club plus une pour un copain de France. Nous espérons que nous pourrons en obtenir d’autres.

Nous arrivons ensuite aux cascades de Chamarel, l’un des plus merveilleux endroit de l’ile.

Un bruit puissant de chutes d’eau se fait entendre. Et là oh surprise un gouffre juste en face avec trois cascades en parallèles une cinquantaine de mètres de chute d’eau qui se joignent à la rivière en bas l’endroit vaut le détour et mérite sa réputation.

La visite suivante nous emmène sur les lieux de la terre des sept couleurs. Nous entrons dans un grand parc protégé ou nous découvrons en bas à droite un enclos de pierre fermé avec un quatuor de tortues géantes et dociles. Plus loin à gauche en remontant, une vue tout à fait surprenante. Sur fond de montagne surélevée et verdoyantes, au premier plan un amoncellement de petites buttes de couleurs différentes qui passent du ocre à l’orange ou violet clair. Sept couleurs différentes comme sur la palette d’un peintre.

Nous reprenons la route vers l’est en remontant vers un site nommé Grand Bassin. Un très grand temple tamoul qui est visible à des kilomètres grâce à une statue géante, haute d’une vingtaine de mètres au moins. Un grand lac borde le temple peint tout en rose. Des statues des Dieux principaux y sont représentées, inondées de fleurs parfumées, de l’encens. Les singes au dehors dévorent les offrandes faites aux dieux sans problèmes et des milliers de poissons pullulent dans le lac protégé.

 

Le long de notre plage et l'entrée de notre lieu de résidence
Le long de notre plage et l'entrée de notre lieu de résidence

Le long de notre plage et l'entrée de notre lieu de résidence

Le 05 décembre, petit déjeuner avec les oiseaux tropicaux qui se promènent sur les tables du restaurant.

Nous avons une très belle vue de cet endroit mais nous préférons retourner sur notre plage centrale pour contempler les fonds marins le plus loin possible en allant vers la barrière de corail.

J’admire des variétés de couleurs surprenantes au fond, que ce soit des poissons, des coraux ou des coquillages. Les grands aquariums que j’ai pu visité me viennent en mémoire et je suis très content d’être dans le plus grand du monde.

Des bancs de coraux aux reflets bleus, ou rouges m’émerveille. Des poissons mangeurs de corail qu’on entend et qui viennent se frotter à vous.

Je constate à mon retour que cela fait 1h30 que je suis partis, les filles étaient resté allongé dans 20cm d’eau sur un banc de sable en nous attendant.

Nous sommes globalement enchantés de la vision sous-marine du site sur notre plage et nous sommes impatients de découvrir les autres sites de l’ile.

Nous profitons de notre présence sur la plage pour aller dans un petit bateau à fond plat et vitreux pour observer les coraux et les poissons sur le site dans son ensemble.

Cela dure une vingtaine de minutes et attention les coups de soleil.

 

 

 

Ballade en catamaran
Ballade en catamaranBallade en catamaran

Ballade en catamaran

Le 06 décembre, nous avons choisi une grande sortie en mer à bord d’un catamaran pour la journée entière. Avec nos deux jeunes couples, nous sommes une douzaine de personnes de l’hôtel à participer pour cette sortie. la sortie promet d’être sympathique.

C’est au bord d’une petite baie que nous faisons halte, une avancée fait office de quai ou nous embarquons dans deux grandes barcasses. Le catamaran blanc qui est effectivement très grand, est amarré au milieu de la baie.

L’ancre remontée nous sortons lentement de la baie avec le moteur d’appoint en direction du sud vers l’ile au cerf. Il est à peu près 10 heures du matin, le soleil est déjà bien haut, l’équipage nous propose un cocktail de bienvenu, au choix un punch ou un rhum.

Les grandes voiles sont soudain dépliées et le moteur s’arrête, seul le glissement du bateau sur l’eau se fait entendre. La vue grandiose de l’ile d’un coté et l’étendue liquide barrée par le corail de l’autre.

 

Une petite excursion est prévue jusqu’aux cascades en bateau à moteurs. Le tirant d’eau du catamaran étant trop important, nous jetons l’ancre dans l’estuaire, ou deux vedettes à fonds plats nous attendent.

Un grand bateau échoué pourtant bien droit, sur la rive gauche de la rivière porte le nom « PORT LOUIS ». Il doit être là depuis un bon moment.

Un grand nuage blanc, émerge droit devant, au dessus des arbres. Une large chute d’eau apparaît au loin. D’autres vedettes font la queue pour passer chacun son tour dans le chenal et éviter les autres qui en reviennent. La vedette s’approche jusqu'à la tombée d’eau qui par ailleurs nous rafraichis. Nous pouvons voir les autres cascades en amont. Des randonneurs longent, les chutes sur les cotés, la ballade doit être sympathique.      

 
 

Grande rivière de l'est, préparation du barbecue et cascade
Grande rivière de l'est, préparation du barbecue et cascadeGrande rivière de l'est, préparation du barbecue et cascade

Grande rivière de l'est, préparation du barbecue et cascade

Un grand rassemblement d’embarcations diverses, convergent vers un goulet qui sépare l’ile au cerf et l’ile Maurice, c’est un véritable débarquement sur la plage de sable blanc.

Nous avons quartier libre pour le reste de l’après-midi. Notre choix est vite fait, baignade et bronzage. 

 

Sur le chemin du retour à bord du catamaran, le calme de la traversée nous laisse rêveur sur l’excellente journée que nous venons de passer.

 

La soirée se termine comme prévue au restaurent de l’hôtel avec une grande table de huit, et nous refaisons la journée jusqu’ tard dans la nuit au bar, boite avec des verres de rhum ou de punchs en mains.

 

Point de rendez-vous à la cascade et plage de l'ile aux cerfs coté autocthones
Point de rendez-vous à la cascade et plage de l'ile aux cerfs coté autocthonesPoint de rendez-vous à la cascade et plage de l'ile aux cerfs coté autocthones

Point de rendez-vous à la cascade et plage de l'ile aux cerfs coté autocthones

Le 07 décembre, nous prenons une journée de repos plage et promenade.

Nous avons prévu dans l’après midi d’essayer la marche sous l’eau, avec le scaphandre.

Nous prenons un petit canot sur la plage, jusqu’à une grosse bouée jaune et une grande plateforme vitrée à peu de distance de la barrière de corail.

On nous invite à l’intérieur de la plateforme pour un petit briefing et connaitre la marche à suivre lorsque nous serons équipés de notre attirail.

Je passe le premier, on me met une ceinture lestée de plomb, et un énorme scaphandre vitré sur la tête relié à un tuyau d’arrivé d’air.

Un guide passe devant par la trappe en me désignant l’échelle de descente. Je le suis en tenant fermement les barreaux de l’échelle, je m’enfonce dans l’eau progressivement jusqu’au niveau des épaules et je constate avec soulagement que l’eau ne rentre pas dans le scaphandre grâce à la gravité, quelque échelon plus bas je touche le sable du fond.

C’est fantastique moi qui n’ai jamais pratiqué la plongée avec bouteille, de pouvoir respirer normalement sous l’eau avec cette cloche sur ma tête. Je revoie le film « 20000 Lieues sous les mers » avec l’équipage du Nautilus qui marche au fond de la mer avec leurs scaphandres posés sur la tête.                   

      

Les autres me rejoignent sous l’eau, et nous marchons en suivant le guide, c’est génial comme sensation. Les poissons nous tournent autour et se rapprochent sans crainte. Le guide sort d’un étui étanche, des galettes de pain qu’il nous tend pour nourrir les poissons.

C’est la curée générale, je n’en avais jamais vu autant à la fois. Notre guide nous prend en photo et fait un film souvenir en DVD.

En début de soirée nous faisons un parcourt de golf pour savoir qui offre l’apéritif symboliquement. Nous terminons comme à l’accoutumé au bar du haut de l’hôtel avec nos nouveaux amis, nous leur racontons notre journée sous l’eau. Ils semblent intéressés.

 

Site de la marche sous l'eau
Site de la marche sous l'eau

Site de la marche sous l'eau

Le 08 décembre, nous avons organisé la visite de la partie Nord de l’ile, et nous retrouvons notre chauffeur de la première grande visite avec plaisir. Après avoir récupérer nos plateaux repas individuel à l’accueil, nous voila repartis.

Nous longeons la côte Nord-Ouest de l’ile qui est au vent, jusqu'à Cap-Malheureux, le nom de cet endroit mémorise les naufrages nombreux qui ont eu lieu et la perte de l’ile, gouvernée par les Français au profit de la dominance Anglaise en 1810.

Seul vestige restant, une jolie petite église de vive couleur au toit rouge non loin de la plage avec une plaque commémorative.

La vue de cet endroit est magnifique, 2 iles en face dont une «  le coin de Mire » toute plate légèrement incliné, objet de beaucoup de clichés touristiques.

Sur le petit port, un petit groupe de pécheurs découpent un requin blanc sous l’œil des acheteurs pour s’approprier les meilleurs morceaux. Les ailerons, la queue, le corps et la tête avec ses grosses dents coupantes comme des rasoirs et le foie énorme qui flotte encore le long du bateau.          

Nous rejoignons la route qui passe par la pointe aux canonniers pour aller aux jardins des Pamplemousses.  Cet endroit est obligatoire à visiter si l’on vient à l’ile Maurice, c’est un lieu incontournable comme Chamarel et la colline des sept couleurs.

Au jardin des Pamplemousses se trouvent toutes les variétés d’arbres du monde, des nénuphars géants, des fruits, des plantes et des fleurs hors du commun.

Nous y découvrons au milieu de ce grand parc une grande maison du style Louisiane toute blanche avec ses colonnes et ses grandes fenêtres, c’est un musée horticole.     

Des arbres plus curieux les uns que les autres, avec des racines sortants du sol pour les uns,  des baobabs, des séquoias, des cèdres, des arbres à fruits étranges comme des cacahuètes géantes et très lourdes. 

Les cocotiers inclinés presque au ras du sol nous indiquent la force du vent lors des cyclones, les étangs sont couverts de nénuphars et des oiseaux y marchent dessus comme sur le sol. Le guide nous informe que ces nénuphars sont actuellement malades et sont rongés par les attaques des vers. Ils ont perdus en taille et en nombre, il y à quelques années ils couvraient l’ensemble de la surface des étangs.

 

Cap Malheureux et la pèche au requin derrière la barrière de corail
Cap Malheureux et la pèche au requin derrière la barrière de corailCap Malheureux et la pèche au requin derrière la barrière de corail

Cap Malheureux et la pèche au requin derrière la barrière de corail

Nous quittons Pamplemousse pour la capitale de l’ile « Port Louis ». La ville est situé sur la cote Ouest légèrement au Nord, elle n’a rien à voir avec Mahebourg, dans sa partie près du port, elle est plus typique de la religion Hindoues, les rues sont plus étroites  et les commerces y sont du style marché couvert aux épices. Notre guide nous signale l’importance de négocier tout achat, c’est un principe de base ici.

Notre chauffeur nous emmène dans une autre partie de la ville plus moderne, avec des grands ensembles hôteliers et de grands magasins aérés. Nous avons une adresse dans un de ces centres commerciaux pour acheter ces fameux coquillages avec un certificat d’origine qui nous permet de les sortir du pays en toute légalité. Hélas nous apprenons que ce magasin n’existe plus, malgré la publicité qui en parle sur les notices touristiques.

          

Nous prenons le chemin du retour par Triolet, plaine des papayes vers l’Est, les noms des villages sont très représentatifs des lieux traversés et écrit en français pour la majorité. Rivière des remparts, Roches noires, Poste de Flacq.

Nous sommes de retour au « Coco Beach », nous faisons nos adieux à notre guide chauffeur vraiment très sympathique.                                               

Comme nous n’avons pas été nous baigné,  et nous allons nous rafraichir à la mer pour une petite demi heure.

Cela nous fait un bien fou, après cette journée de ballade. ma femme et moi sommes d’accord, la visite du Sud de l’ile nous à semblé plus belle.

 

Jardin des Pamplemousses et Port LouisJardin des Pamplemousses et Port Louis
Jardin des Pamplemousses et Port LouisJardin des Pamplemousses et Port Louis
Jardin des Pamplemousses et Port LouisJardin des Pamplemousses et Port Louis

Jardin des Pamplemousses et Port Louis

Nous sommes le 09 décembre mon ami et moi, voudrions utiliser le matériel de golf que nous avons apportés avec nous dans l’avion, c'est-à-dire les gros clubs. Nous allons à la réception pour commander un taxi pour aller au Golf de St Géran qui se situe le long de la plage à coté de notre hôtel. Nous avons pris rendez vous pour le taxi et réservé un parcourt pour nous quatre.

Le cout du taxi est de 800 Roupies allé et retour (20 € environ) 8 kilomètres au total. C’est un 9 trou par 33, qui sont situé entre les hôtels et la plage.

Les trous 7, 8 et 9 sont vraiment le long de la plage, s’est fantastique pour le cadre. On en profite pour faire quelques photos.

Nous en profitons par acquérir la balle de golf logotée du St Géran.     

                     

De retour à l’hôtel nous allons nous restauré au bar grill qui se trouve à coté de la piscine.

Nous sommes entourés d’oiseaux exotiques en liberté, ils ont des couleurs vraiment très vives.

Mes amis vont faire une sieste, tandis que nous,nous prenons le chemin de la baignade et du bronzage à la mer.

Cette journée de repos nous fait du bien, le retour en métropole n’est pas loin, il ne faudrait pas rentrer épuiser de nos vacances, nous serions obliger d’en reprendre.

 

Au golf de Saint Géran  et trou n°1 du golf de l'hôtel
Au golf de Saint Géran  et trou n°1 du golf de l'hôtel

Au golf de Saint Géran et trou n°1 du golf de l'hôtel

Cette journée du 10 décembre

Le Sud nous avait plus séduits que le Nord, nous avons pris cette direction. Cette fois nous contournons Mahebourg et l’aéroport pour rejoindre le grand parc de Vanille. C’est un genre de Zoo spécialisé dans les sauriens et les reptiles.

Il y a aussi un élevage de crocodile pour les articles de maroquineries. C’est aussi un grand musée des sciences naturelles exotiques.

Toutes les variétés de sauriens sont représentées dans ce parc, les crocodiles, les alligators les caïmans etc.… Ils sont des centaines, de toutes tailles et de tout âge.

Des iguanes et varans avec quelques serpents sont présents, mais le plus impressionnant sont les locaux d’élevages, les crocodiles parqués dans des salles par âges.

Un musée très intéressant de sciences naturelles nous renseigne sur le Dodo, animal symbole et disparu de l’ile Maurice. Une serre aux papillons et coléoptères, une termitière géante et d’autres curiosités.

Parc de Vanille et de MacareignesParc de Vanille et de Macareignes
Parc de Vanille et de Macareignes

Parc de Vanille et de Macareignes

Nous suivons la route des parcs vers Crève Cœur et la réserve des Mascareignes. C’est un parc pour tortues et daims. Toutes les sortes de tortues s’y trouvent.

La particularité de ce parc ce sont les tortues géantes en liberté. Alors là, Les dames se précipitent dessus parce qu’elles ont pu voir que c’était autorisé.

Nous y avons tous droit et les films et photos enregistrent tout çà.           

Les gardiens sont là malgré tout pour éviter les abus, mais ils sont discrets.

Il y à des nurseries dans des entrepôts et quand l’une d’elle se retourne en voulant monter sur sa voisine, un surveillant tend une longue perche et la remet dans la bonne position.

 

Nous reprenons la route pour revoir le site du Morne Brabant. Nous passons un peu vite et nous ratons la route du golf du paradis, tant pis pour la balle.

Nous rentrons à l’hôtel pour la restitution de la voiture et nous remettre de nos émotions de la journée, par un diner à huit dans le restaurant chic de l’hôtel.

 

 

Une façon de présenter la langouste     le parc de Crèce coeur   vers le Morne BrabantUne façon de présenter la langouste     le parc de Crèce coeur   vers le Morne Brabant
Une façon de présenter la langouste     le parc de Crèce coeur   vers le Morne Brabant

Une façon de présenter la langouste le parc de Crèce coeur vers le Morne Brabant

Dernier jour de vacances le 11 décembre 2008,

Programme de la journée, parachute ascensionnel le matin, ski nautique en début d’après midi et après notre baignade journalière en mer, nous apprendrons le golf aux autre jeunes.

Nous embarquons à bord de deux hors bord, au petit ponton derrière le restaurant chic de l’hôtel. Quatre membres de l’équipe d’encadrement pour le parachute et nous six. A très grande vitesse nous nous dirigeons vers un grand ponton au milieu du lagon. Une fois monté dessus, les préparatifs de sécurité organisés, pour savoir la force et la direction du vent. Les essais de démarrage et la tension du câble, il reste les explications avec les gestes à faire.

Le départ se fait assis, harnaché avec les sangles du parachute qui lui est tenu ouvert face au vent par deux membres éducateurs et un câble qui est tendu à l’avant du ponton. Tandis que les deux autres sont à bord du bateau de traction, qui tourne autour du ponton en attendant le signal.

Au top le bateau passe le long du ponton à grande vitesse et vient accrocher le câble tendu et l'emmène en souplesse vers le ciel grâce à la force du vent.

Une vingtaine de minutes plus tard il est de retour et l’atterrissage se fait en douceur.

 

Mon tour viens et je suis impatient de décoller, mes mains tiennent les attaches et je suis assis prêt à partir. Le bateau s’approche les deux éducateurs me disent « prêt .go » et me voilà en l’air sans secousse avec une impression d’aspiration vers le haut. C’est fantastique, j’ai l’impression de ne plus rien peser.

 

Préparation au départ au ski et au parachute
Préparation au départ au ski et au parachute

Préparation au départ au ski et au parachute

Je suis à une cinquantaine de mètres d’altitude environ, la vue est magnifique. On y voit très nettement les fonds marins, j’aperçois un grand poisson que je pense être un barracuda à cause des lignes verticales sur son dos et sa tête très pointue.

 

Le bateau ralenti et je redescends doucement jusqu'à toucher l’eau avec les pieds, à ce moment

Il accélère et je remonte très haut. La descente finale s’amorce et je m’approche doucement du ponton ou les deux jeunes éducateurs se préparent à me réceptionner. J’atterris comme un papillon et je me promets de recommencer dès que l’occasion se représentera.

 

Mon ami part suivi des autres, tandis que nous nous protégeons du soleil avec les crèmes de protections et les serviettes car nous sommes au milieu de la journée, au milieu de l’océan.

Mon épouse qui n’est toujours pas rassuré se lance à son tour et comme prévu, tout se passe bien. Elle se débrouille comme un chef et à son retour avoue que cela lui a bien plu aussi.                     

Parachute ascentionnel je m'envole et je plane et je prends mon pied.Parachute ascentionnel je m'envole et je plane et je prends mon pied.
Parachute ascentionnel je m'envole et je plane et je prends mon pied.

Parachute ascentionnel je m'envole et je plane et je prends mon pied.

Sur le chemin du retour les deux hors bords se font une course de vitesse, nous repassons le long de la plage du St Géran et remettons les pieds sur la terre ferme avec regret.      

Nous allons nous restaurer au grill de la piscine rapidement car le ski nautique pour certain est au rendez vous. Nous nous retrouvons au même petit ponton que ce matin, mais cette fois le départ se fait d’ici.

C'est une grande expérience mais pas évidente, il fallait essayer.

Les rafraichissements de l’océan sont les bienvenus. Nous faisons l’acquisition de quelques pièces de coraux que nous nettoierons bien, avant de les protégés dans nos bagages.           

Nous avons encore la soirée et demain matin avant le départ. Le soir nous fêtons bien la réussite de nos vacances et promettons de nous revoir avec les jeunes car eux partent le matin. 

     

Nous restons à quatre pour boire un dernier verre au bar boite de l’hôtel.

Nous faisons un dernier tour le soir au bord de la plage, pour découvrir que la marée est très basse et laisse les coraux à l’air libre se qui laisse une drôle d’odeur. La lune apparait à l’horizon, comme pour nous dire au-revoir, elle est entière et toujours dans une orientation différente que dans l’hémisphère Nord.

Ballade en bateau    boutique de Port Louis   Colline des 7 couleursBallade en bateau    boutique de Port Louis   Colline des 7 couleurs
Ballade en bateau    boutique de Port Louis   Colline des 7 couleurs

Ballade en bateau boutique de Port Louis Colline des 7 couleurs

Nous préparons nos valises et nous soignons l’emballage des souvenirs. Les bagagistes viennent prendre nos bagages et nous rejoignons nos amis pour un copieux petit déjeuner, car nous ne savons pas encore quand nous déjeunerons dans l’avion avec le décalage horaire avec la France.

                                          

En voiture dans notre minibus pour l’aéroport. C’est marrant le temps se couvre d’un seul coup et la pluie se met à tombée, c’est la dernière journée que nous avons de la pluie. Cela ne dure pas très longtemps et à l’aéroport le ciel se dégage doucement. Nous retrouvons dans le hall de départ un 747 d’Air France cette fois.        

Nous embarquons à bord et l’impression de longueur de temps se fait moindre, le va et vient des passagers dans l’appareil est très intense, entre les repas et les films puis les séjours aux différents points de boissons. Je suis souvent à contempler la terre et la mer en dessous de nous, nous arrivons facilement à nous situer grâce à la carte d’une des télés mis en évidence en haut.

 

Nous approchons de notre pays et l’excitation monte d’un cran, certains mettent déjà des pulls et préparent leurs bagages à main. Le commandant de bord nous annonce la descente sur Paris et la température de -2°. Cela nous remet de suite dans les conditions et nous pensons que notre séjour au paradis est bien terminé.

 

Mon fils vient nous chercher à l’aéroport avec notre vieille R21 Nevada. Tous les bagages rentrent dedans c’est miraculeux.

Ca y est notre premier grand voyage vient de se terminer.

 

Mon épouse n'a pas souhaité être sur les photos et celle de mes amis sont volontairement absentes pour respecter leurs vies privées.

 

FIN

REVE MAURICIEN Décembre 2008REVE MAURICIEN Décembre 2008
REVE MAURICIEN Décembre 2008
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V
merci pour ce reportage très complet, je retiens le terrain de golf, très sublime dans un cadre très apaisant.
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J
Beaucoup de terrain de golf sur cette ile, mais les prix pour certain vous stoppe. Notamment celui du Touessrok sur l'ile aux cerf et le Paradis au Morne Brabant ou les cadres sont idylliques
M
Beau voyage et belle photo. Ca donne envie bravo.
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L
Bonjour,<br /> Pour avoir voyagé pas mal dans le monde grâce à ma profession de militaire, je reconnais certains endroits que j'ai séjourné ou connu en vacances (La réunion, L'île Maurice, le Maroc). Je trouve ce site tellement jolie en grande partie par la qualité des photos que je reviendrais avec plaisir lorsque j'aurais plus de temps.<br /> Bonne continuation dans vos voyages et faites nous rêver sans modération ! !
Répondre
J
Merci beaucoup de votre commentaire.<br /> J'espère partir prochainement dans le sud-est Asiatique. Je ne manquerai pas d'y raconter mes nouvelles découvertes.
G
bonjour c est un tres beau blog photos avec de tres bon commentaires pour avoir fait certain de ces voyages.<br /> Je pense avoir été avec toi à l' école des apprentis mécaniciens en 1972 compagnie 3A.<br /> Meilleurs voeux<br /> Jean Marc Glander
Répondre
J
Exact pour l' EAMF. Je te remercie pour tes commentaires, Je te souhaite également une bonne année,<br /> Jean*Marc HERBO
H
C'est sublime!
Répondre
J
merci